Ils la tiennent enfin cette première victoire en championnat ! Il aura fallu attendre la 5 ème journée et la réception de Venelles pour accrocher un premier succès, mais que ce fût tendu ! Ils ont de la meilleure manière inauguré les nouveaux maillots.
Encore privé de Yango, il faut ajouter Ricard à l’infirmerie, qui s’est mis en tenue avant le match mais ne s’est pas échauffé, c’est avec une rotation amoindrie que notre équipe entame cette nouvelle rencontre à domicile. De l’autre côté les Venellois arrivent aussi en effectif réduit avec la blessure à la cheville de leur meneur titulaire Thomas Niflore, ainsi que le poste 5 Clarence Juillet.
Devant composer avec un groupe diminué, coach Chetail décide d’aligner 4 arrières de formation plus Zianveni comme seul intérieur, une tâche ardue pour nos joueurs qui se trouvent plus petit à l’intérieur et ont du mal à contenir les attaques de Guillarme et Pope, adroits dans ce début de match. Mais à force d’ajustement et de volonté nos joueurs font le boulot en défense et sont efficace de l’autre côté du terrain, tout en profitant de la vitesse de Mobisa et Racine ( 23 et 20 points) pour marquer rapidement sur contre attaque notre équipe creuse l’écart jusqu’à se porter à 15 points à la mi-temps, 50 à 35 après 20 minutes.
La seconde mi-temps sera plus compliquée pour notre équipe qui va éprouver beaucoup plus de difficultés à scorer, les 15 points d’avance vont fondre comme neige au soleil à cause du rythme imposé par nos adversaires. Les sorties de Zianveni et Agostini à 5 minutes de la fin du match corsera encore plus les choses, alors que le souffle des Venellois se fait sentir de plus en plus fort. La branche pliera mais ne rompra pas grâce aux 2 lancers francs de Petiteau dans l’ultime minute de la rencontre, finalement remportée de justesse 75-71, devant un public soulagé.
Bravo à nos joueurs pour avoir su tenir malgré les diverses difficultés de cette rencontre ! Pas de match ce week-end, les coéquipiers de Jo Galas vont pouvoir recharger les batteries et espérons le, vider quelque peu l’infirmerie.